châtillon sur saône - Page 3
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Châtillon-sur-Saône (88) : Musée vivant et bourse aux plantes le 5 mai
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Châtillon-sur-Saône (88) : les Musées vivants 2013
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Châtillon-sur-Saône (88) : bilan des Musées vivants estivaux
[Vosges Matin]
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Saône Lorraine : entre bilan et projets
La saison touristique en Saône Lorraine a été officiellement close lors de la réunion du conseil d'administration de l'association éponyme. Occasion de dresser un bilan et de se projeter dans l'avenir.
Le président Michel a dressé un bilan assez satisfaisant de l'activité touristique dans les trois sites gérés et animés par l'association Saône Lorraine : la cité Renaissance de Châtillon-sur-Saône, l'église des Cordeliers des Thons et le musée des activités anciennes et de la Résistance de Hennezel-Clairey. Si le nombre des visiteurs individuels reste stable, en revanche le président déplore le manque de groupes. Plusieurs pistes ont été explorées afin de démarcher les structures potentiellement concernées.
Les Musées vivants de Châtillon ont encore connu un beau succès et seront par conséquent reconduits en 2013. Le calendrier des Musées vivants 2013 a été défini : ils auront lieu les 5 mai, 6 juillet en soirée, 4 août avec un musée vivant "médiéval et renaissance" et 8 septembre.
Par ailleurs, au musée de Hennezel-Clairey, l'exposition sur les opalines et verreries moulées est reconduite la prochaine saison. La réouverture du musée coïncidera avec le marché de Pâques prévu le 24 mars 2013.
L'actualité de Saône Lorraine se concentre surtout sur les importants travaux engagés sur le bâtiment conventuel des Thons, propriété de l'association. Depuis quelques jours, un vaste échaffaudage enserre l'ancien logement des frères franciscains. La première tranche, prévue pour une durée de 8 mois, consiste à reprendre complètement la toiture. Ces travaux sont placés sous l'autorité de Pierre Bortolussi, architecte en chef des Monuments historiques.
Les agents du chantier d'insertion de la Communauté de communes du Pays de la Saône vosgienne seront sollicités afin d'effectuer la pose de tomettes dans les salles du couvent ainsi que des marches d'escaliers à Châtillon-sur-Saône, derrière la Grosse Tour.
Enfin, une réflexion a été engagée sur la question du renouvellement du flèchage touristique à Châtillon et, plus largement, dans le périmètre du Pays de la Saône vosgienne, en lien avec l'ouverture à Châtillon-sur-Saône même de la "Maison de Marie", lieu d'information touristique de la Communauté de communes.
[clichés : musée vivant à Châtillon, 2012 | vue aérienne du couvent des Cordeliers des Thons, années 1960]
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Châtillon-sur-Saône (88) : un nouveau buste pour le peintre Jan Monchablon
L'association Saône Lorraine a choisi les Journées du Patrimoine pour inaugurer à Châtillon-sur-Saône le nouveau buste du peintre vosgien Jan Monchablon.
Jan Monchablon, de son vrai nom Jean Baptiste Ferdinand Monchablon, est né en 1854 à Châtillon-sur-Saône et y est mort en 1904. Attiré par la peinture des maitres flamands, en 1886 il part en Hollande où il devient maître dans les paysages avec sa touche si particulière. Il laissera une trace de cette passion en signant d'un "Jan" Monchablon.
En 1909, son ami et marchand d'art américain Roland Knoedler fit ériger un monument à la mémoire de l'artiste avec un buste en bronze réalisé par Antoine Bourdelle. Malheureusement, ce buste fut détruit par l'occupant durant la Seconde Guerre mondiale ; un buste en béton l'avait remplacé avec plus ou moins de bonheur...
Grâce à l'initiative de Gérard Monchablon, lointain descendant du peintre châtillonnais, le moule réalisé par Bourdelle fut retrouvé dans les réserves du musée Bourdelle à Paris. Mais celui-ci était fort abîmé... Un artiste local d'origine néerlandaise installé à Fresnes-sur-Apance, Marcel Joosen, fut présenti pour la restauration du moule de Bourdelle. A l'issue, il réalisa une nouvelle sculpture du buste de Monchablon à partir de ce moule originel.
La sculpture, réalisée en plâtre patiné façon bronze, a été dévoilée dimanche matin 16 septembre devant le musée de Châtillon en présence du maire de la commune, du conseiller général, de l'artiste Marcel Joosen, de Gérard Monchablon et de Jean-François Michel, le président de Saône Lorraine, qui a rappelé la genèse de cette résurrection. Le buste sera présenté dans la salle du musée dédié au peintre.
Buste de Jan Monchablon réalisé par le sculpteur Marcel Joosen.
[clichés © H&PB]
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Saône Lorraine : le sous-préfet au chevet du patrimoine
[Vosges Matin]
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VMF valorise les belles pierres lorraines
Vieilles maisons françaises (VMF) a choisi le château de Girecourt-sur-Durbion, une demeure seigneuriale vosgienne, pour son premier prix régional de la restauration.
« Nous nous battons pour défendre, mettre en valeur les belles pierres de Lorraine ! » Jean-François Michel est, depuis 2000, le délégué régional et président de Vieilles maisons françaises en Lorraine. Ancien professeur d’histoire au lycée messin Georges-de-La-Tour, tout comme son épouse Marie-Françoise, l’homme milite au sein de cette association nationale, créée en 1958 et reconnue d’utilité publique, pour faire connaître le très riche patrimoine lorrain. « Et il n’est pas seulement concentré sur le sillon mosellan. On néglige trop souvent la Lorraine profonde et son tissu rural qui cache de magnifiques monuments. Je pourrais vous citer des presbytères, de chapelles ou d’anciennes églises monastiques, de vieux lavoirs, d’anciennes mairies, de vieilles maisons paysannes qu’il faut absolument préserver et qui sont malheureusement menacés », répète ce connaisseur.
Il s’appuie sur VMF pour faire du lobbying auprès des pouvoirs publics afin de permettre, outre la préservation, la restauration d’un patrimoine par trop méconnu. Et ça tombe bien cette année. En septembre, il sera question, lors d’un week-end entier, d’une journée du patrimoine caché.
A cet effet, VMF en Lorraine organise, depuis douze ans, son concours régional de restauration doté d’un premier prix de 10 000 €. Il est allé cette année à la demeure seigneuriale de Girecourt-sur-Durbion, dans les Vosges, propriété d’un couple de médecins, les Courtalon, qui ont acquis la demeure en 1994. Un couple tombé sous le charme de ce château construit en 1580 par Pierre d’Haraucourt et que l’on peut apercevoir en empruntant l’axe Epinal-Bruyères. Le couple n’a pas cessé d’investir dans des travaux remarquables qui ont permis de mettre en évidence des plafonds à caisson considérés comme les plus beaux plafonds de Lorraine.
La demeure seigneuriale était en lice parmi une douzaine de candidats (sept pour les Vosges) dont deux en Moselle : le château de Freistroff, près de Bouzonville, et celui d’Aubigny, à Coincy, lieu historique de la fameuse bataille de Borny le 14 août 1870.
Les Vosges abritent, selon Jean-François Michel, parmi les plus belles pierres de notre région. « Notamment dans la partie ouest, du côté de la Saône Lorraine avec ce village magnifiquement restauré qu’est Châtillon-sur-Saône. » Sans oublier Les Thons et ses trois églises, ou Bleurville avec son ancienne abbaye bénédictine du XIe siècle !
‡ Information sur l'action de VMF : www.vmfpatrimoine.org
[Le Républicain Lorrain]
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Le patrimoine historique au coeur des préoccupations de la Saône Lorraine
Sauver le couvent des Thons
L’association présidée par Jean-François Michel ouvre un second chantier à un jet de pierre de Châtillon.
C’est l’ensemble monastique franciscain le plus intact de Lorraine » assure Jean-François Michel. Mieux, selon l’expert, que celui des Récollets à Metz ou celui des Cordeliers à Nancy. Sauf que le couvent des Thons, près de Châtillon-sur-Saône, est en piteux état. C’est d’ailleurs là qu’est née en 1980 l’association Saône-Lorraine. Laquelle l’acquiert, pour sa partie mise en vente, en 2006.
Elle est ainsi devenue propriétaire de l’église gothique érigée en 1451 et du tiers du monument monastique dont le reste est occupé par une auberge.
Un autre cap devrait être franchi sous peu avec le coup d’envoi des travaux d’une vaste restauration. État et collectivités ont prévu d’injecter 300 000 € dans une première tranche de réfection. Les travaux concerneront prioritairement l’ancien cloître, dont la toiture menace de s’effondrer. Après des années à se battre pour conserver des pans de l’histoire locale, Jean-François Michel croit toujours en ses rêves : « Ici, dans quelques années, pourquoi ne pas envisager la constitution d’un musée d’art sacré ? »
Le chantier d’une vie à Chatillon-sur-Saône
Après avoir fait, il y a six mois, l’acquisition d’un ancien hôtel particulier, Fernand et Franck se retrouvent au pied du mur.
Pour Franck et Fernand, le chantier de rénovation de leur home sweet home ressemble fort à celui d’une vie tout entière. Cette belle demeure Renaissance, aux allures d’hôtel particulier italien – pompeusement dénommé « l’hôtel du faune » -, les deux Nancéiens l’ont acquise il y a six mois et s’y sont installés dans la foulée. « On a toujours aimé les vieilles pierres », confirme le premier. Une condition qui, vu l’ampleur de la tâche, s’avère en effet indispensable. Plus qu’un sérieux lifting, les 477 m² sur deux niveaux de la bâtisse imposent un complet remodelage. En six mois, les deux compagnons ont déjà « dégringolé » une partie de la demeure et s’apprêtent à repaver l’une des deux cours intérieures.
Mais l’avancée du chantier est conditionnée par les agréments de subventionnement des Monuments historiques. Franck et Fernand doivent donc composer avec une administration forcément tatillonne dès lors que la maison fait l’objet d’un classement au titre des Monuments historiques depuis 1985. Pourtant, les précédents occupants ont laissé quelques traces disgracieuses de leur passage : murs intérieurs recouverts de béton, volets roulants métalliques… Autant d’anomalies dont l’élimination freine la réhabilitation.
Au-delà de l’investissement financier, le coût des travaux devrait tripler le montant d’acquisition de la maison, les nouveaux propriétaires admettent qu’un tel enjeu constitue un projet de vie : « C’est un énorme boulot qui modifie profondément les habitudes et pour longtemps », confirme Fernand. Lequel se console grâce à son nouveau cadre de vie, loin du stress urbain. « Et puis, conclut-il, les habitants nous ont accueillis à bras ouverts ».
[textes et clichés : © Le Républicain Lorrain]
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Châtillon-sur-Saône (88) : les Riches Heures de la cité Renaissance
[Vosges Matin]
Défilé des bénévoles costumés et des troupes de musiciens dans les rues de la petite cité Renaissance [cliché © Jean-François Michel]
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Châtillon-sur-Saône (88) : un couple messin ressuscite le village Renaissance
Sauvé in extremis de la convoitise d’antiquaires peu scrupuleux, Châtillon-sur-Saône retrouve sa superbe. Trente ans de dévouement d’un couple d’enseignants messins ont sauvé ce fleuron de la Saône lorraine.
À l’écart des voies de communication, entre Monthureux-sur-Saône et Bains-les-Bains, Châtillon est un havre de paix. Si la commune ne compte plus que 160 habitants, elle en abritait un millier avant la guerre de Trente Ans. Outre l’entreprise Sammode spécialisée, depuis sa création en 1927, dans l’éclairage technique et architecturale, la prospérité de Châtillon repose désormais sur la valorisation de son patrimoine. Le village constitue, avec Marville en Meuse, le second ensemble architectural Renaissance de cette qualité rapporté à une commune de cette taille (ce qui excepte, bien sûr Bar-le-Duc).
Mais le bel ensemble du XVIe siècle a subi les outrages du temps. Lorsqu’à la fin des années 80, Jean-François Michel s’installe au chevet des vénérables demeures, il va tout bonnement les sauver de la ruine. Mobilisant les bonnes volontés, il crée l’association Saône-Lorraine pour en faire le levier administratif et financier du vaste chantier de restauration qui s’ouvre alors. Les premiers succès ne tardent pas. Le concours de la Drac facilite le classement ou l’inscription à l’inventaire des Monuments historiques de sept bâtiments, dont la maison du Gouverneur (1520), l’ancien hôpital, l’hôtel de Ligneville. L’initiative marque enfin l’arrêt des pillages et du vandalisme.
L’acquisition en 1985 de l’ancien grenier à sel sert de siège à l’association, mais aussi de salon de thé et de salle d’expo. À quelques pas, l’émouvante maison du berger accolée à la maison du cordonnier héberge un écomusée restituant les vieux métiers et l’intérieur des habitats d’autrefois. À l’arrière du bâtiment, dont la terrasse offre un superbe panorama à 180°, Pierre-Yves Caillault, architecte en chef des Monuments historiques, a autorisé la réalisation d’un escalier de bois en colimaçon. Sur la grosse tour du XIVe siècle, ultime vestige des seize tours qui jalonnaient la fortification, flotte le drapeau de la Lorraine. « Pas question d’abandonner le territoire aux Bourguignons ou aux Franc-Comtois ! », s’amuse Jean-François Michel.
La restitution de ces lieux à l’identique de ce qu’ils furent à leur origine impose de gros investissements et de lourds travaux. Rétive au départ, la population s’est peu à peu habituée à ce remue-ménage. « C’est vrai qu’au début les choses n’allaient pas de soi », confesse le Messin. « Une partie de la population n’était guère convaincue. Surtout les anciens. Mais aujourd’hui, les jeunes comprennent que la survie de la commune en dépend ». Même les réticences à l’égard des nouveaux venus sont tombées. « La présence de plus en plus importante de Hollandais qui rachètent et restaurent les maisons constitue une vraie chance », salue l’historien. Même si ceux-là n’y séjournent qu’à la belle saison, abandonnant la belle endormie au long hiver vosgien.
[Le Républicain Lorrain]
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Saône Lorraine : animations autour du patrimoine
A Châtillon-sur-Saône
En l'église des Cordeliers des Petits-Thons
En l'abbaye Saint-Maur de Bleurville
[Vosges Matin]
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Châtillon-sur-Saône (88) : le point d'info' touristique bientôt opérationnel
[Vosges Matin]
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Saône Lorraine : programme découvertes autour d'un spectacle vivant
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Châtillon-sur-Saône (88) : la cité renaît avec ses musées vivants
[Vosges Matin]
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"Les Musées vivants" de la cité Renaissance de Châtillon-sur-Saône (Vosges)
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Monthureux-sur-Saône (88) : assemblée générale de Saône Lorraine
C'est sous les couleurs du drapeau aux trois alérions que l'association de sauvegarde du patrimoine de la Saône Lorraine a tenu son assemblée générale annuelle ce dimanche 15 avril à la Maison pour Tous de Monthureux-sur-Saône. Occasion de faire le bilan de l'année écoulée dans la convivialité.
Après l'ouverture des travaux par le président Jean-François Michel et l'observation d'une minute de silence à la mémoire des adhérents disparus, MM. Jacques Kempf et Paul Thanry, le maire de la commune, Raynald Magnien, a exprimé sa joie d'accueillir les adhérents de Saône Lorraine et son souci permanent d'être à l'écoute de tous ceux qui ont le souci de la promotion du patrimoine historique et architectural.
Jean-François Michel a rappelé dans son rapport moral les grands moments qui ont marqué l'activité de l'association patrimoniale au cours de l'année 2011 : les animations au musée des activités anciennes de Hennezel-Clairey (marché de Pâques, expositions), les musées vivants de la petite cité Renaissance de Châtillon-sur-Saône et les travaux engagés au couvent des Cordeliers des Petits-Thons.
Les questions d'emplois ont également été présentées à l'assemblée et notamment la problématique du remplacement d'Elodie Granget au Grenier à Sel et l'embauche d'un nouveau guide pour le musée de Châtillon avec l'appui de Pôle Emploi.
Le président Michel a aussi évoqué les voyages organisés par l'association et le succès qu'ils rencontrent. D'ailleurs, cette année, les adhérents pourront se rendre dans les états Baltes en mai et dans le Nivernais à l'automne.
Le bilan financier de Saône Lorraine a été présenté par la trésorière Nicole Hottier : chacun a pu se rendre compte de la situation financièrement saine de l'association, corroborée par la stabilité des adhésions, puisque ce sont 375 adhérents qui soutiennent les actions de Saône Lorraine à ce jour.
Afin de remplacer Jacques Kempf au conseil d'administration, la candidature de Françoise Dorion, de Claudon, a été acceptée à l'unanimité.
Lors des échanges entre l'assemblée et le bureau du conseil d'administration, Madeleine Courtial, de Saint-Julien, a évoqué l'état de délabrement que présente l'intérieur de l'église paroissiale de son village. L'église de Saint-Julien est en effet une des rares églises du secteur à être classée Monument historique... Ce qui ne facilite pas pour autant les travaux de restauration ! Cependant, il semblerait qu'il manque une réelle volonté de la part des élus locaux d'engager des travaux. Ceux-ci pourraient tout-à-fait faire l'objet d'une programmation sur plusieurs années afin de tenir compte des contraintes budgétaires de la commune. "L'église fait partie du patrimoine historique du village et il est de la responsabilité de son propriétaire - la commune - de l'entretenir", a rappelé le président Michel.
A l'issue de l'assemblée générale, un sympathique repas a réuni les membres présents. La fin d'après-midi a été consacrée à une page d'histoire locale : Jean-François Michel a brièvement relaté quelques bribes de l'histoire du presbytère de Monthureux, pur produit du XVIIIe siècle. Puis, une visite du musée du patrimoine local installé dans l'ancienne maison curiale, a été effectuée sous la conduite de Marie-Madeleine Boulian.
[cliché © H&PB]
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Saône Lorraine prépare la saison estivale
Le conseil d'administration de l'association Saône Lorraine s'est réuni récemment sous la présidence de Jean-François Michel. Il s'agissait de préparer l'ouverture de la saison 2012 dans les différents sites patrimoniaux gérés par l'association.
La question de l'emploi d'hôtesses (ou d'hôtes) d'accueil au Grenier à Sel de Châtillon-sur-Saône et au musée de la cité Renaissance a été évoquée. Pôle Emploi sera consulté pour proposer des candidats à ces postes saisonniers.
Le musée des activités anciennes et de la Résistance d'Hennezel-Clairey s'apprête à vivre un début de printemps actif : le 1er avril, le marché de Pâques (le jour des Rameaux !) accueillera une quinzaine d'exposants et d'artisans autour du thème de l'oeuf, du chocolat et des petits objets artistiques. Et à l'occasion du week-end dédié aux métiers d'art, le musée invite Anne Dufala, de Deyvillers, qui travaillera devant le public à la restauration d'un reliquaire à paperolles, propriété de Saône Lorraine. Le "clou" de cette journée printanière sera bien sûr l'ouverture en avant-première de la nouvelle exposition consacrée aux opalines et aux verreries moulées ; modèles de productions verrières dans lesquels s'illustrèrent plusieurs centres verriers lorrains. En juin, auront lieu la présentation officielle de la nouvelle édition enrichie de l'ouvrage sur François-Théodore Legras, le célèbre verrier Art nouveau originaire de La Grande-Catherine, ainsi que celle d'un DVD produit par Philippe d'Hennezel sur Les passeurs de lumière, véritable ode aux verriers de la Vôge de tous les temps.
Le vieux village de Châtillon-sur-Saône s'animera encore cette année avec les musées vivants : celui du 8 juillet fera nocturne et celui du 5 août sera rythmés par des troupes de saltimbanques et par les bénévoles de l'association costumés.
Enfin, les travaux à l'église des Cordeliers des Thons sollicitent tous les efforts (financiers, physiques et moraux !) de l'association, de ses bénévoles et sympathisants. Des travaux d'importance seront engagés entre l'été et l'automne prochains : il s'agit de reprendre totalement la toiture de la partie des logements conventuels jouxtant l'église, propriété de Saône Lorraine.
Encore une année intense pour les chevilles ouvrières de Saône Lorraine. Pour la sauvegarde et la promotion du patrimoine historique du sud-ouest vosgien. Tout simplement.
[cliché : le conseil d'administration de Saône Lorraine | © H&PB]
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Saône Lorraine : de sympathiques agapes pour clore la saison touristique
[Vosges Matin]
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Châtillon-sur-Saône : le musée au coeur de la Cité Renaissance
[Vosges Matin]
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Châtillon-sur-Saône (Vosges) : la Fondation du Patrimoine s'associe à la restauration de la "Maison de Marie"
Ferme lorraine, XVIe-XVIIe siècles, Châtillon-sur-Saône (Vosges)
[Vosges Matin]
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La Renaissance dans les Vosges
Dimanche 30 octobre à 15 h 00 au Centre Visages de Jehanne à Domremy (Vosges) Florence Daniel-Wieser, rédactrice en chef de La Gazette Lorraine, présentera le nouveau hors-série publié par la revue du patrimoine et de l'environnement en Lorraine : "Architecture et décor de la Renaissance dans les Vosges".
Si le patrimoine Renaissance est méconnu du grand public en Lorraine et dans les Vosges en particulier, cela ne signifie pas qu'il n'existe pas. L'actuel département des Vosges, lui aussi a été imprégné par ce style architectural et décoratif nouveau, puisé en Italie et dans les Flandres, contemporain de l'Humanisme.
Moins visible dans l'architecture des châteaux, en raison des nombreux conflits, elle se manifeste plus volontiers dans les villes et les bourgs comme Châtillon-sur-Saône, et dans la reconstruction de certains édifices religieux prestigieux comme l'abbaye d'Autrey.
[cliché : éléments de décorations Renaissance, abbatiale N.-D. d'Autrey]
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Bilan estival satisfaisant pour Saône Lorraine
[Vosges Matin]
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Au Grenier à sel de Châtillon-sur-Saône : la peinture comme thérapie
Christine Janvre expose ses aquarelles au Grenier à sel de Châtillon-sur-Saône jusqu’au 18 septembre. De l’art pour guérir avant tout. Et pour le plaisir de ses admirateurs aussi.
Sans détour, Christine Janvre annonce la couleur : la peinture l’aide surtout à surmonter la maladie de Parkinson qui l’a touchée depuis bientôt cinq ans. Jean-François Michel, le président de Saône Lorraine qui accueillait le public pour le vernissage des œuvres de Christine, s’est dit ému d’offrir pour la première fois les cimaises du Grenier à sel aux aquarelles de cette artiste locale. Christine est en effet originaire de Tignécourt, et l’on sait les liens étroits qui unissent Saône Lorraine à Flabémont, le hameau de Tignécourt, siège d’une prestigieuse abbaye prémontrée aujourd’hui disparue. Les liens, ce sont aussi ces liens d’amitié et d’estime qui relient le président Michel au mari de Christine, Gilbert Janvre.
Christine Janvre a commencé à peindre tardivement : l’envie était là, le talent aussi. Il a fallu la maladie pour que Christine ose se lancer dans cette sympathique aventure artistique. L’huile tout d’abord, puis très vite l’acrylique et depuis fin 2009 l’aquarelle ont ponctué le cursus de notre artiste, aujourd’hui installée à Martigny-les-Bains.
Avant le succès des expositions, Christine a bénéficié des conseils techniques de Gisèle Seyller, aquarelliste de Damblain. Et puis ce fut la première exposition au Pavillon des Sources de Contrexéville.
Aujourd’hui, Christine Janvre excelle dans l’aquarelle. Les murs du Grenier à sel en témoignent : bouquets de fleurs, marines, paysages, architectures, œuvres non figuratives mêlent leurs couleurs pastel pour le plus grand plaisir des yeux. Rien ne transparaît de sa maladie dans ses tableaux pleins de gaîté, de fraîcheur et d’éclatantes couleurs car, comme l’exprime l’artiste « mon art évolue avec ma maladie, elle le stimule aussi ». Courrez-vite jusqu’à Châtillon-sur-Saône, vous ne serez pas déçus par les œuvres pleines de poésie de Christine Janvre.
[clichés © H&PB]
§ Exposition Park’Aquarella de Christine Janvre, tous les après-midi jusqu’au 18 septembre au Grenier à Sel de Châtillon-sur-Saône.
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Vif succès de la fête Renaissance de Chatillon-sur-Saône
[Vosges Matin]
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Châtillon-sur-Saône : histoires salées pour le Musée vivant
[Vosges Matin]
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Châtillon-sur-Saône : grand Musée vivant Renaissance le 7 aôut
Point d'orgue de la saison touristique à Châtillon-sur-Saône, cité Renaissance du Sud-Ouest vosgien, le grand Musée vivant du dimanche 7 août s'organisera autour de l'histoire du sel et de ses légendes.
La Renaissance sera présente tout au long de la journée : le déjeuner (avec cochon à la broche et repas rustique) sera animé par les comédiens costumés de l'association Saône Lorraine. Saynètes, fabliaux, musiques et danses égayeront l'assistance.
Le groupe Arthus Mains et Merveilles présentera un spectacle sur le sel dans la grande tradition des animations de rue. L'histoire du sel s'articulera autour des légendes liées à sa naissance, sa découverte, les routes du sel, la gabelle, les faux saulniers, les révoltes populaires et leurs icônes.
‡ Renseignements au 03.29.07.91.78 ou nathaliebonneret@orange.fr
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Châtillon-sur-Saône (Vosges) : grande fête Renaissance le 7 août
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Châtillon-sur-Saône (Vosges) : le buste de Monchablon bientôt de retour au pays
[Vosges Matin]
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Châtillon-sur-Saône (Vosges) : Musée vivant nocturne le 9 juillet
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Châtillon-sur-Saône : Catherine Caquel expose au Grenier à Sel
Le Grenier à Sel de la petite cité Renaissance de Châtillon-sur-Saône accueille jusque fin juillet une exposition des oeuvres picturales de Catherine Caquel. Etonnantes.
Dans son propos liminaire, le président de Saône Lorraine, Jean-François Michel, exprimait son plaisir d'accueillir pour la deuxième fois sur les cimaises du Grenier à Sel les peintures de la monthurolaise Catherine Caquel. En effet, Catherine reste une monthurolaise de coeur même si, aujourd'hui, elle vit et travaille dans la région nancéienne. Depuis sa prime jeunesse, Catherine peint pour son plaisir et pour celui de ses proches. Mais pas seulement puisqu'elle expose régulièrement dans les salons des environs de Nancy.
Comment définir sa peinture ? C'est une peinture résolument moderne et contemporaine associant plusieurs matériaux : toile, papier, végétaux... Mais ce qui caractérise sûrement la peinture de Catherine c'est sa luminosité qui donne au ciel lorrain un air... méditerranéen. Sont-ce des réminiscences de sa naissance, dans le sud de la Lorraine, attiré qu'il est par les rivages méditerranéens vers lesquelles roule la Saône, la fiancée du Rhône ?
Trêve de rêveries. Les tableaux de Catherine Caquel sont avant tout un hymne à la nature. Et à la nature de notre Saône Lorraine, puisque le visiteur appréciera tout particulièrement les paysages des environs de Monthureux ou de Bleurville, mais aussi de la vallée de la Saône vosgienne... Les tons chauds, lumineux, couleurs de feu, donnent un éclat particulier à ces paysages. Un vrai grand talent !
A voir au Grenier à Sel jusqu'au 31 juillet.